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Dès le début des années 1960, il s’intéresse aux expérimentations des architectes viennois (Hollein, Pichler…). Explorant le thème de la « synesthésie des arts », il œuvre au décloisonnement des formes et des disciplines par le dessin, la peinture ou l’architecture. À partir de 1967, il radicalise sa critique du fonctionnalisme et des valeurs consuméristes qui « asphyxient » selon lui l’individu. Ugo La Pietra met en place un « système déséquilibrant » qui, à travers objets, environnements audiovisuels, immersions, vise à étendre notre champ de perception et à rendre actif le spectateur. À partir des années 1970, le territoire urbain devient son objet privilégié d’expérience. Muni d’« outils de décodage », La Pietra arpente la ville dans ses moindres interstices, en quête de « degrés de liberté ». Utilisant la photographie, le film, le dessin ou le photomontage, il détourne et réinterprète méthodiquement l’espace urbain. La ville est pour lui tissée de nos comportements et de nos choix : « Habiter la ville, c’est être partout chez soi ». |
Entrée libre. Du lundi au vendredi, 10h-12h ; 14h-18h. Les week-ends et jours fériés, 14h-18h. Visites commentées en semaine sur réservation, les samedis et dimanches à 16h. |
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Ugo La Pietra - abitare la città 8'30 min |
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La recherche protéiforme d’Ugo la Pietra, tant dans les moyens et matériaux employés que dans les champs explorés, s’est nourrie de multiples expériences depuis le début des années 1960. Un parcours dans la collection du FRAC Centre permet d’en mesurer les ancrages et les prolongements. L’architecture-sculpture L’architecture radicale autrichienne L’architecture radicale italienne |
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Liens Site de Ugo La Pietra - www.ugolapietra.com |
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