À rebours des aspirations de la peinture de paysage et de la nature morte à immortaliser la nature, Second Nature la représente éphémère et incertaine, en phase avec l’ère du numérique. Cette image de la nature, à la fois étrangère et reconnaissable, affirme ici son caractère artificiel et synthétique dépassant ainsi la frontière entre le réel et le fantastique. Dans sa version initiale, l’œuvre prend vie grâce à une application mobile de réalité augmentée qui permet au public de la manipuler et de la modifier à son tour.

Cette œuvre fait partie du projet curatorial "The Architectural Beast" de Herman Diaz Alonso

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